We have only two short days in Ua Huka, an island with around 3,000 horses (and a human population of only 582), so we were hoping to make the most of it. We were not disappointed. We first encountered a small group of spinner dolphins close to shore on the southern side of the island. We observed animals in this group were very stocky, with much larger post anal keels than other spinner dolphins we have encountered in French Polynesia. The males looked like “spinners on steroids” (a quote from Michael). Our second group of spinner dolphins (a much larger group, around 80-100 individuals) also showed these characteristics in the males, but there were smaller animals in the group as well, including juveniles and calves. We collected biopsies and photo IDs of this group despite the poor ocean conditions. Our third encounter was with a large group of melon-headed whales. We were able to collect several biopsies and photo IDs from this group. We counted the group size to be slightly less than 300 individuals. After this encounter we continued our circumnavigation around the island, stopping on the west side (the Lee side) to do offshore transects. Once again our offshore transects yielded no additional encounters, which begs the very important question…Where are the rough-toothed dolphins?
Malheureusement, nous n’avons que deux petits jours de mer à passer sur l’île de Ua Huka. Une île bien connue pour ses colonies de sternes, kaveka, mais aussi pour ses chevaux (environ 3000 pour seulement 582 âmes). Nous espérions bien pouvoir tirer le meilleur de notre court séjour et nous n’avons pas été déçus par notre première sortie. Nous avons d’abord trouvé un petit groupe de dauphins à long bec sur la côte Sud de l’île. Les individus de ce groupe nous sont apparus particulièrement robustes en comparaison des dauphins de cette espèce que nous avons l’habitude de voir (sous espèce Stenella longirostris longirostris), notamment ceux de Hiva Oa vu il y a quelques jours. Les mâles adultes avaient également une bosse ventrale proéminente, ce qui est inhabituel chez cette sous espèce. Pour l’instant nous n’expliquons pas ces différences mais nous ne manquerons pas de creuser la question. Le second groupe rencontré fut également un groupe de dauphins à long bec (80-100 dauphins), avec encore des individus robustes mais aussi des individus de morphologie plus classique, incluant notamment des juvéniles et des petits. Nous avons collecté quelques biopsies et pris des photos de ce groupe malgré une mer difficile. La troisième rencontre de notre journée fut avec un grand groupe de péponocéphales (presque 300), situé sur la côte Est de l’île et donc exposé au vent dominant. Encore une fois, des biopsies et des photos ont été obtenues. Après cette rencontre, nous avons continué notre tour de l’île et fait quelques transects au large de la côte Ouest, sous le vent et donc plus calme. Mais une fois encore, nous n’avons pas pu trouver d’espèces pélagiques, et notamment de dauphins à bec étroit, l’espèce que Renee étudie pour son doctorat.