J’ai lit le poème “Neige,” par Philippe Beck. Voici le texte.
Hiver descend de la neige.
Masse de neige antique.
Elle est réchauffée lentement.
C’est un blanc froid.
Avec les terribilités.
Une beauté à distance.
Dehors, bois de chauffage
que demande la Vie Dedans.
Luge porte le bois.
Actionnée.
Loisir polit
bouton de rose
ou double surface dans le jeu,
et le pont du souvenir
de silences d’enfance.
Futur jouet est courbé.
L’Impossibilité Jouet.
Il avance dans des rudesses.
Vers maison.
Joujou du pauvre
au pays de la neige constante.
Durabilité de la neige
demande une critique ?
Luge porte aliment du feu utile.
Avant l’huile de pierre.
Matière chauffe matière.
Elle éclaire.
Bois et fer lugent le bois.
L. est besoin dans vie rude.
Froid arrête dehors,
là où continue Limpidité
parfois.
Un homme fait un feu intermédiaire.
Dans l’air sec et dur.
Homme enlève de la neige
en chemin.
Il critique la neige ?
Dessous, il y a une clé d’or.
Comme sous le champ au printemps ?
La serrure est loin dans l’apparence.
C’est une clé seule en hiver.
Homme creuse dans de la terre.
Il y a une cassette de fer.
Montagne miniature.
Serrure est dure à voir.
Des yeux doivent s’employer.
Serrure est discrète d’un côté.
La clé aime le côté.
Tour de clé infini
se précise.
Rhumain trouve la manière
de tourner la clé.
Chercherie en hiver.
Eté fait oublier la clé ?
Et le vent sévère ?
Pronom Personnel est dedans.
Il est quelqu’un ou la clé ?
Conte est la serrure infinie
maintenant.
D’où son entretien.D’après « La clef d’or »
C’est une vraiment belle poeme! Tu la lit très bien et tu n’es pas trop vide ou lent. C’est parfait.