Les quelque premières choses. Je vous assure que je suis un mieux* chanteur maintenant! J’espère que mon français soit mieux aussi!
Ceci dit, je partage une chanson que j’ai écrit en lycée. Je l’ai écrit en dernière année.
Pour cet article, on va analyser (et corriger) les paroles.
Les paroles:
Il y a une chose, qui est mieux que beurre de cacahuètes* avec confiture.
C’est cette chose qui quand je la regarde,
ça me rende très heureux.
On peut demander, qu’est ce c’est cette chose?
C’est toi, oui c’est toi.
Et quand je te vois,
Tu fais toujours une fête, dans ma tête.
Oui c’est toi.
(un petit trou d’Anglais)
Si tu étais, à la musée d’Orsay,
tu serai la plus belle de l’art.
Oui tu es plus belle que la «Nuit Étoilée»
Van Gogh serait* envieux,
mais pourquoi?
Parce que c’est toi, oui c’est toi.
Et quand je te vois, tu fais toujours une fête, dans ma tête.
Oui, c’est toi.
Et à la fin de mon histoire,
j’espère que tu es avec moi,
parce que c’est toi,
qui j’adore,
oui, c’est toi.
D’accord. Le première chose est à corriger la grammaire.
Les mots soulignés ont tort. J’ai dit «à la » musée, le musée est masculine. C’est la même avec «mon histoire», c’est la histoire.
Avec les phrases d’espérer, on utilise le subjonctif. J’ai utilisé l’indicatif.
Aussi, j’ai dû utiliser «que» au au lieu de «qui».
Quelques des erreurs sont délibérément. «qui» est un mot qui rime* bien. Je chanterais «à la» au lieu de «au» pour le but du nombre des syllabes. Maintenant qu’on finit avec la grammaire, je peut analyser les paroles.
Le but de cette chanson est à satiriser et séduire. J’ai aimé une fille, et j’ai voulu écrire une chanson à s’exprimer mes sentiments. Mais, j’ai voulu cacher* les sentiments. Donc, j’ai décidé à écrire la chanson en français.
La chanson soi-même est anachronique*. Ça la voix Américaine, mais la langue est français.
La première strophe est un bon exemple.
Il y a une chose, qui est mieux que beurre de cacahuètes* avec confiture.
Le beurre de cacahuètes n’est pas populaire ou ordinaire en France. Donc, ce phrase rende deux choses. C’est amusant. Je compare une fille à un sandwich! L’autre, avec le comparaison d’elle et un sandwich, je veux dire qu’elle est mieux que les choses qui sont simples mais à la même temps sont très gratifiants, comme la combinaison du beurre de cacahuètes et la confiture. Ce combinaison est caché en France, donc peut-être la fille fait profil base aussi.
Enfin, le refrain:
C’est toi, oui c’est toi.
Et quand je te vois,
Tu fais toujours une fête, dans ma tête.
Oui c’est toi.
Elle est cette chose magnifique. Le sentiment délibère dans les deuxième et troisième lignes est un coup de foudre*. Le langage* est léger. C’est similaire au phrase «tu me rende fou». La fête rime avec la tête. J’ai voulu se concentrer sur mes émotions et mes réactions cognitifs*. En réalité, j’ai du mal à s’exprimer mes emotions et sentiments. J’ai voulu donner l’image de moi qui a l’air de paralysé, mais dans ma tête, c’est une boume. C’est mon «satirasation»* d’un coup de foudre.
L’interlude* est ma favorite partie de la chanson.
Si tu étais, à la musée d’Orsay,
tu serai la plus belle de l’art.
Oui tu es plus belle que la «Nuit Étoilée»
Van Gogh serait* envieux,
mais pourquoi?
J’étais fier de moi-même quand j’ai écrit la chanson parce que j’ai utilisé le conditionnel et le futur conditionnel aussi.
Ici, je donne un petit coup au superlatif traditionnel. J’ai voulu
qu’une chose très connue. Aussi, je réalise il y a un autre niveau d’interprétation. La peinture* La Nuit Étoilée est belle, mais c’est une peinture impressionniste. Donc, c’est pas exactement une démonstration claire de la beauté. Les peintures impressionnistes se trouvent leur beauté dans les vues des observateurs. C’est la raison que cette ligne existe:
mais pourquoi?
Les autres personnes doit trouver une réponse. J’en ai déjà.
Parce que c’est toi, oui c’est toi.
La strophe finale veut exprimer le sentiment traditionnel d’adoration. À la fin de ma vie, ou cette chanson, ou après un époque, je veux être avec elle. Ces lignes expriment mon souhait que cet amour reste pour un long temps.
J’ai hâte à écrire plus des chansons en français!
Merci pour lire cet article du blog!
-Aaron
Le vocabulaire:
mieux – better (than)
buerre de cacahuètes – peanut butter
serait – would be (future conditional of être)
rimer – to rhyme
se chacher – to be hidden
coup de foudre – love struck/love at first sight
anachronique – anachronistic, not belonging to this era/time culture.
le langage – vocabulary
congnatif – intellectual, cognative
satirasation – satrization. An the target of or object that has been satrized.
Le surnom «le pays des immigrés» ne fait pas penser au Europe ou la France. Depuis le début de la guerre civile Syrienne, il y avait une inondation* des réfugiés aux pays européens y compris la France.
Incidemment, la Syrie était un territoire sous mandat des Français pendant l’époque d’après première guerre mondiale. Un mandat est différent d’une colonie. La France y aurait occupé jusqu’à les Syriens a pu «se soutenir».
Ironiquement, ça n’a pas l’air que la France a réussi dans stabiliser la Syrie, ni elle n’a pas assumé la tout responsabilité pour les conflits en Syrie.
La principale question en France est: le sentiment des Français envers des immigrés et réfugiés est quoi?
La première place à chercher pour une réponse est la nouvelle*. Lisez ces phrases d’un article de «L’Express» il y a deux années: «Accueil des réfugiés: les Français opposés à ce que la France imite l’Allemagne».
Contrairement aux Allemands, qui ont promis à accueillir* les réfugiés, les Français ne sont pas très accueillants. L’article a donné une statistique que:
«55% des Français sont opposés à l’assouplissement* des règles d’accueil».
Pourquoi est-ce que ce sentiment existe en France?
J’ai trouvé une étude française de L’institut français d’opinion publique (IFOP). Ça s’appelle: «Les français et leurs perceptions de l’immigration, de réfugiés et de l’identité».
IFOP dit que 56% de leur échantillon* diraient que l’immigration a un impact négatif sur la France. Quels sont les facteurs qui créent ce sentiment?
Je propose que le désaccord* entre les Français et les immigrés est construit sur la culture rigide de la France. L’identité nationale est très forte en France. Ça a l’air que les Français ne changeront pas pour les immigrés ou les réfugiés. ll y a une attente immobile que les immigrés pas intégrer eux-mêmes, mais assimiler eux-mêmes dans la culture et l’identité Français.
Le IFOP dit que le groupe qui oppose les immigrés la plus est le groupe «nationaliste identitaire».
48% de ce groupe crois que les immigrés seraient un très négatif impact sur la France.
76% de l’échantillon crois que les immigrés auraient quelque impact sur la culture de la France. Et quand on leur a demandé si «les immigrants font des efforts pour s’intégrer à la société française?», 95% du groupe «nationaliste identitaire» a répondu qu’ils ne le croient pas.
Donc, un obstacle à un accueil chaleureux aux immigrés est la nature obstiné de la culture et l’identité nationale française.
Le cent différents types du fromage est un morceau intégrant de l’identité français. Malheureusement, le fromage est le seul chose qui fonde dans le creuset* français.